.. mais pas envie d'ecrire
pourtant c'est pas le temps qui me manque
j'ai un ficus et un yucca de noyel
mon arme de predilection pour me defendre contre les mechants c'est le skate
la maternité que j'ai choisi me saoule
le bébé gigote grave
j'ai pas encore fait un seul cadeau de noel
ce week-end je suis toute seule
silent hill ca fait peur
mon arret est reprolongé jusqu'au 12 Janvier
je hais les ventes privées sur le net parce que j'ai envie de tout acheter
alors pour compenser j'achete des vetements de bébé
pour la première fois, on m'a laissé une place dans le métro pour cause de grobide
les programmes tv de la journée c'est vraiment la misère mon frère
13 décembre 2007
04 décembre 2007
Du bonheur
Il y a 2 jours encore, je me préparais à vous balancer un post pompeusement nommé « de la nostalgie et de la projection ». Il y a 2 jours encore, j’étais pétrie d’inquiétudes et d’angoisses et je ne souriais guère qu’après avoir –enfin- réussi un passage difficile dans Prince of Persia 2, oui, il y a 2 jours encore c’était pas la patate.
Aujourd’hui, je me sens juste heureuse, sereine, les petits oiseaux chantent sous le ciel gris de paris, il me tarde simplement que mon petit bout d’chou arrive et en attendant, j’essaie de préparer au mieux ce moment.
Hier, c’était ma deuxième échographie. Que j’attendais avec impatience certes, mais également avec beaucoup d’appréhension, puisque c’est un moment-clé pour savoir si tout va bien ou alors si c’est l’apocalypse. IL faut dire que je suis atteinte du syndrome inverse du « ça n’arrive qu’aux autres », ce qui est bien mais pas top en terme de propension à la non-zenitude. Allongée sur la table, le ventre à l’air et enduit de gel, un oeil rivé sur l’écran et l’autre sur la tête du médecin à l’affut de n’importe quelle mimique à interpréter, ma main dans celle de mon chéri, m’extasiant sur les bouts de corps que j’apercevais et impatiente d’entendre la sentence, je me sens devenir mère. Enfin. Vraiment.
Et je commence à entrevoir cette vague d’amour dont parlent les parents, mais qui ne me parlait pas des masses. Et je l’ai laissé déferler sur mon cœur au moment où la phrase « tout va bien » a résonné dans la pièce. Ces 3 mots ont changé ma vie, j’ai senti mes chakras s’ouvrir enfin, comme je pouvais enfin respirer sans avoir peur.
Pour ceux qui se poseraient la question, on ne sait pas si c’est une petite fille ou un petit garçon, on ne voulait pas le savoir, pour garder le suspense, la surprise, le côté magique de l’inconnu. Bien sur, je ne pouvais m’empêcher d’essayer de voir, mais le médecin l’a joué beaucoup plus fine que moi en prenant garde à ne pas montrer l’endroit fatidique.
En tout cas, il (=le bébé) a l’air très mignon, des grands yeux, un petit nez, des lèvres bien dessinée… tireur de langue, suceur de pouce et attrapeur de pied émérite. Les "photos" de l’echo ne sont pas terribles, mais bon, c’est magique et je les regarde sans cesse, un sourire niais scotché sur la gueule.
Le papa aussi est sur son petit nuage, bref c’est l’amour et ca gazouille sévère
Ca fait du bien.
Aujourd’hui, je me sens juste heureuse, sereine, les petits oiseaux chantent sous le ciel gris de paris, il me tarde simplement que mon petit bout d’chou arrive et en attendant, j’essaie de préparer au mieux ce moment.
Hier, c’était ma deuxième échographie. Que j’attendais avec impatience certes, mais également avec beaucoup d’appréhension, puisque c’est un moment-clé pour savoir si tout va bien ou alors si c’est l’apocalypse. IL faut dire que je suis atteinte du syndrome inverse du « ça n’arrive qu’aux autres », ce qui est bien mais pas top en terme de propension à la non-zenitude. Allongée sur la table, le ventre à l’air et enduit de gel, un oeil rivé sur l’écran et l’autre sur la tête du médecin à l’affut de n’importe quelle mimique à interpréter, ma main dans celle de mon chéri, m’extasiant sur les bouts de corps que j’apercevais et impatiente d’entendre la sentence, je me sens devenir mère. Enfin. Vraiment.
Et je commence à entrevoir cette vague d’amour dont parlent les parents, mais qui ne me parlait pas des masses. Et je l’ai laissé déferler sur mon cœur au moment où la phrase « tout va bien » a résonné dans la pièce. Ces 3 mots ont changé ma vie, j’ai senti mes chakras s’ouvrir enfin, comme je pouvais enfin respirer sans avoir peur.
Pour ceux qui se poseraient la question, on ne sait pas si c’est une petite fille ou un petit garçon, on ne voulait pas le savoir, pour garder le suspense, la surprise, le côté magique de l’inconnu. Bien sur, je ne pouvais m’empêcher d’essayer de voir, mais le médecin l’a joué beaucoup plus fine que moi en prenant garde à ne pas montrer l’endroit fatidique.
En tout cas, il (=le bébé) a l’air très mignon, des grands yeux, un petit nez, des lèvres bien dessinée… tireur de langue, suceur de pouce et attrapeur de pied émérite. Les "photos" de l’echo ne sont pas terribles, mais bon, c’est magique et je les regarde sans cesse, un sourire niais scotché sur la gueule.
Le papa aussi est sur son petit nuage, bref c’est l’amour et ca gazouille sévère
Ca fait du bien.
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