30 juin 2009

l'énigme résolue !

Rha je suis décue !!! Je préparais ce message depuis si longtemps, cette formidable révélation, je l'illustre, j'hésite et puis finalement je le fais, je le publie et la, rien, réaction zéro !

Non mais comment avez-vous pu laisser passer le fait qu'on voit Nick en arrière plan. Nick, merde ! Nick d'Amour, Gloire et Beauté. Nick qui est pas dans la merde en ce moment puisqu'accusé, à tort du meurtre de Shane, le sdf bizarroide qui est tombé amoureux de Phoebe quand elle est tombé en panne sur le bord de la route et que sa mère Taylor elle est venue a son secours alors que quand même tout le monde sait qu'elle a un problème d'alcool et que du coup, son problème plus le noir de la nuit noire, elle a écrasé Darla, la femme de Thorne, qui est morte. Et Shane il a tout vu, il s'est incrusté ni vu ni connu chez Taylor et Phoebe en faisant genre coucou je suis jardinier sauf qu'il voulait leur soutirer de l'argent sauf qu'il a pas réussi et qu'en plus il s'est fait rembarrée par Phoebe de qui il etait donc tombé amoureux. Resultat il s'est mis à la harceller. Et même que Ridge il est pas content et d'ailleurs c'est Ridge qui devrait être accusé même si en réalité il n'est pas responsable de sa mort, puisque la mort de Shane est un suicide sauf que Stephanie elle a peur que les juges ne croient pas Ridge a cause que il s'est denoncé dans le passé pour Rick, le fils de Brooke et que du coup, il a un passé avec les armes a feux, tu vois. Au regard de la justice, tu vois. Même si c'est pas vrai, hein, vous avez compris bien sur.
Même que c'est la merdasse parce que Nick, il est avec Taylor, qui ne peut plus fabriquer des enfants dans son ventre mais avec un FIV c'est possible et la FIV elle a pris tout de suite et maintenant elle est enceinte mais Nick lui et ben il est en prison et c'est pas juste. Pauvre enfant. pauvre Taylor, Pauvre Nick. Stephanie elle est méchante et Ridge il est lache et c'est scandaleux tout ca, quel suspense !

Et TOUT CA vous vous en foutez.
La prochaine fois, je viendrai vous dire que je suis enceinte, ca suscitera peut-etre plus de réactions !

12 juin 2009

Moi et le corps médical

Je sais pas mais que je crois qu’il y a un truc bizarre entre moi et les médecins, une sorte de connexion qui ne se fait pas ou bizarrement.

Moi et la pédiatre de Malo
Moi et mon sage homme à la maternité pour Malo
Et la hier, j’ai eu droit à moi et mon dermato.

Au départ, c’était pour lui montrer un grain de beauté qui a une sale gueule. Les grais de beauté qui ont une sale gueule, on les montre et éventuellement s’ils sont vraiment très laids, paf on les enlève. Aucune laideur n’est tolérée chez les grains de beauté. Il faut le savoir.

Donc, je me rends chez un dermato qui m’a été recommandé par mon médecin traitant, dont je vous parlerai surement un jour dans le cadre d’un billet comique, un type un peu complètement à l’ouest, j’ai eu peur au début , et en fait, c’est un bon médecin et sa ouestitude me divertit pendant mes rendez-vous.

Je rentre donc dans le cabinet et je suis reçue de suite. Incroyable. Même pas le temps de passer par la salle d’attente pour rattraper mon retard en culture pipole.
Je lui montre mon dessous de bras, c'est-à-dire la ou se trouve mon grain de mocheté, il regarde la chose, me questionne sur sa date de naissance, les différentes étapes de sa transformation etc. Je m’attends à ce qu’il m’annonce délicatement qu’il faut l’enlever pour diverses raisons qu’il m’exposerait, mais non, il me dit juste « bon bah on va l’enlever » « quoi maintenant ? », « bah oui, j’ai un client qui s’est décommandé profitons-en »
Ah oui, chouette trop cool, profitons de la vie et faisons nous enlever des grains de beauté ! Trop fun !

Je précise que pour enlever un grain de beauté, on prend un scalpel, on découpe autour, on creuse et on extrait le grain de beauté. C’est quand même une petite opération. Avec anesthésie locale et tout. C’est drôle, j’avais pensé à autre chose à faire cet après midi que me faire charcuter.

Peu importe j’obtempère. Il me demande d’enlever mon t-shirt pour enlever un grain de beauté qui est sous le bras. Soit je m’exécute. Il me fait soulever le bras et la je me rends compte que j’ai rendez-vous chez l’esthéticienne dans une semaine. Ce qui signifie que mes poils poussent depuis 3 semaines. Bref j’ai des poils sous les bras, quoi. Rien de grave mais quand même, c’est pas une de mes situations préférées, exhiber mes poils. Puis il me pique pour m’anesthésier et la, je reçois une bonne giclée d’anesthésiant entre les seins. Je m’imagine entrain de me frotter le décolleté en gémissant « oh je suis toute mouillée », mais j’écarte vite fait cette pensée, la situation ne s’y prête pas, mais c’est bizarre quand même, de se prendre une giclée d’anesthésiant la comme ca. Décidément cette situation est inconfortable et gênante et je veux partir. Je sens – ou plutôt je ne sens pas, mais je sais- qu’il me découpe et puis je le vois qui s’éloigne et pose un truc. Sanguinolent. Feu mon grain de beauté . Sur la face interne de l’emballage de la compresse. Ca me semble bizarre ca de laisser mon grain de beauté à l’air et en plus sous mes yeux. Puis je l’entends dire « 7 points de suture ». Putain 7. Mais c’est énorme, je suis sure que je me suis fait entailler le bras sur toute sa longueur c’est pas possible. Ca me semble monstrueux, j’imagine déjà la belle cicatrice que je vais avoir sous les bras. En plus des poils.

Et puis la, comme si tout cela n’était pas assez pénible, il me demande d’enlever mon pantalon pour observer mes grains de beauté sur les jambes. Je suis donc la, en sous-vêtements dépareillés, des poils sous mes bras entaillés, le décolleté plein d’anesthésiant, sur le point de me pincer pour voir si je ne rêve pas et malheureusement non. Au final, je repars avec mon grain de beauté dans un bocal de formol pour de plus amples analyses. Savoir si oui ou non c’est un grain de beauté ou un mélanome. Si oui, ou non, il va falloir m’entailler encore plus.

Si oui ou non, je vais devoir prendre mes rdv chez l’esthéticienne en fonction de mes rdv chez le boucher. Heu, le dermato.

11 juin 2009

Le message positif - la suite

Je poursuis mon message positif inachevé car il y a eu de nouveaux evenements qui viennent nourrir le pot à bonnes nouvelles qui font sourire quand on y pense.

J’ai donc au ma place en crèche pour Malo. Oui, vous m’avez bien entendue/lue, j’ai eu ma place en crèche pour Malo. A Paris. Malgré le fait que je sois au chomage.
Autant vous dire que je suis heureuse et plutôt fière, mais je ne peux m’octroyer totalement le crédit de cet achèvement et je dédis cette victoire à Géraldine, ma copine qui m’a bien aidée et ca fait plaisir d’avoir un coup de main et c’est surement ce qui fait qu’aujourd’hui, à la question, jusqu'à présent penible à mes oreilles, « mais tu as eu ta place en crèche ? », je peux répondre « oui », avec cette lueur dans les yeux qui dit « Je l’ai fait ».

L’autre bonne nouvelle, c’est qu’on a finalisé le programme vacances et qu’il est pas si nul que ca , puisque je suis tombée par hasard sur une offre que j’ai trouvé plutôt alléchante d’un appart de 60 m² à la Plagne avec un accès gratuit au spa, donc bain bouillonnants, sauna, piscine truc muche, hammam. Bon si je veux me faire tripoter je paie, mais déjà un accès jacuzzi, c’est plutôt sympa. Au programme donc, relaxation et ballade en montagne dans un chouette endroit pour une bouchée de pain. Puis une petite semaine en Bretagne, la vraie Bretagne, le Finistère. La ou j’ai passé une bonne partie de mes vacances gamine et que j’adore. Puis Normandie, comme d’hab, mais cette fois au soleil. Car je ne vous ai pas dit mais notre séjour tant attendu des ponts de mai a été écourté pour cause de pluie, de vent glaciale et de 10 degré sans chauffage dans la maison. Ce qui a largement participé à la déprime qui s’est emparé de moi ces derniers temps.

Donc voila, 3 semaines de vacances, pas aussi excitant que le voyage a Madagascar ou celui au Mexique mais pas mal quand même je trouve. J’évite la case belle mère et ca c’est chouette. La case mère aura lieu en Aout et voila. Ca c’est fait.

09 juin 2009

Un diner presque nul à chier

Bon allez je me lance après la publication du post inachevé hier, puisqu’enfin il m’est arrivé quelque chose de vraiment drôle (rétrospectivement) avec des vrais morceaux de rires dedans, je ne peux pas ne pas vous le raconter, sinon, vous êtres voués à vous endormir à jamais ou à lire un blog de dépressive.


Avez-vous déjà fait un diner pour une végétarienne ?

Moi oui. Une fois. L’expérience a eu lieu il y a une semaine. Autant vous dire que je ne debordais pas d’enthousiasme à cette idée, mais bon, faut ce qu’il faut pour voir les amis, en l’occurrence le copain de la-dite végétarienne.

Après avoir repoussé plusieurs fois l’échéance, je finis par réussir à me motiver et je me creuse les meninges pour trouver un menu (sans viande) qui soit correct.

Et voila ce que j’ai mis au point :
Entrée : soupe de concombre à la menthe et poivrons marinés
Plat : gratin de courgettes pommes de terre basilic, mozzarella gratinée et aubergines grillées, sauce tomate
Le dessert c’est eux qui l’amène, c’est tant mieux, parce qu’en plus d’être végétarienne, elle ne mange pas de farine. Moi non plus vous me direz, la farine c’est dégueulasse, un peu etouffe-chrétien, qui aurait l’idée d’en manger ?

Donc je m’organise, je dépose Malo à la halte, je finalise mes courses, je me mets aux fourneaux. Finalement, je suis plutôt contente de mon menu, je me dis que ca va être chouette comme expérience et qu’on va quand même bien manger, ce qui n’était pas gagné au départ.
J’épluche, je découpe, je préchauffe, je mixe etc, je suis presque en transe parce que mon temps est limité. D’ailleurs un peu trop limité et j’envoie un texto pour décaler l’heure d’arrivée d’une petite demi-heure. Je rajoute une petite phrase vraie et drôle qui n’a pas vocation à recevoir une réponse qui dit « j’espère que vous aimez l’ail ! ». 5 minutes plus tard : texto : "Ah non, bidulette aime pas trop l’ail, mais elle en mange un peu". Paf dans ma face , j’ai mis de l’ail partout, d’ailleurs qui cuisine des légumes du soleil sans ail, merde. Je repense au moment où je l’ai croisé dans la rue et que dans les yeux, je lui ai demandé ce qu’elle n’aimait pas à part la viande et la farine et où elle me répond « rien ».
L’enthousiasme redescend donc complètement, mais bon.

19h30. Les convives arrivent. Ca me fait rire parce que Malo est justement en pleine crise de chiantite et hurle. Au lieu de faire des grands sourires. Dans mon for intérieur, tout au fond de mon moi inconscient mais un peu conscient quand même, je souris, je me dis que ce petit a tout compris et qu’il me venge. J’aime mon fils. On finit par le coucher et on se retrouve entre personne de plus de 14 mois et demi.

Apero. J’apprend que Madame ne boit pas. Chouette. Heureusement, j’ai des bières sans alcool, mais j’apprécie moyennement qu’on me les siffle. Mais c’est pas bien grave, au moins je les ai ces bières. C’est la classe quand même. Qui peut se targuer d’avoir des bières sans alcool dans son frigo ?

On passe à table, je sers l’entrée. Ca commence plutôt bien puisqu’elle mange ma soupe de concombre malgré la présence d’ail (faible). Je suis contente, je lui propose mon superbe poivron mariné et elle refuse. Elle me dit qu’elle ne peut pas manger pas de poivron, qu’elle digère mal tout ca. Que globalement, elle ne mange pas de trucs forts parce qu’elle digère mal dans la vie. Je suis ravie de l’apprendre, la maintenant, alors que j’ai passé ma journée à cuisiner. Mais je gère l’affront, les poivrons étant divins, ca en fait juste plus pour nous (bel exemple de positivisme n’est ce pas ?). Cela étant, elle me questionne beaucoup sur ma soupe pour finalement me faire avouer que j’y ai mis du citron (scandale) et du poivre (rescandale).

C’est le moment d’apporter le plat, je ramène le gratin que je trouve magnifique, juste gratiné comme il faut et qui crépite encore, je demande à chéri de servir pendant que je finalise mes aubergines en 2 minutes dans la cuisine et quand je reviens au salon c’est pour entendre madame dire qu’elle veut une part où ya pas trop de formage, elle aime pas ca. D’abord, c’est de la mozza, y’en a pas beaucoup et elle est gratinée juste comme il faut (quoi je l’ai déjà dit !), et ca plus le coup du poivron et de l’alcool, cette madame m’emmerde, je vais lui mettre un pain. En cuisine je dis a Stéphane en essayant de chuchoter malgré l’énervement : "en fait, c’est pas qu’elle est végétarienne c’est qu’elle aime rien". Je sais pas vous, mais dans ces conditions-la, je trouve qu’on ne se fait pas inviter a diner. Elle se fait donc servir une micro lichette de gratin et en plus, je la vois qui trie des trucs, je suis à 2 doigts de lui enfoncer ma fourchette entre les 2 yeux. Non contente de trier, elle jette des bouts dans l’assiette de son mec des que j’ai la tête tournée.
C’est l’enfer, elle n’est pas au courant mais je lui suis carrément hostile a présent.
La seule chose qu’elle semble vraiment aimer sont les aubergines. C’est bien fait, y’en a pas beaucoup. Je me fends même à la fin du repas d’une phrase qui dit en gros, que tout le monde a bien mangé et que personne n’aura faim pour le dessert. Même toi la, avec tes 20 cl de soupe de concombre et tes 3 lamelles d’aubergine dans le ventre.

Hors ces considérations culinaires, le côté désagréable de la soirée s’etend egalement à d’autres sphères. Je note qu’elle se met à bailler aux corneilles sans discrétion aucune à partir de 22h30. Je la comprends, moi aussi elle m’emmerde et son manque de conversation aussi et bien sur, c’est moi qui suis censé la divertir pendant que les hommes discutent photo. Femme de maison, c’est vraiment un role de merde, que je decide de ne pas tenir et je ne cherche pas la faire parler, je m’en fous, elle a déjà de la chance d’etre encore en vie.

Mais ce n’est pas tout, car vient le grand moment où elle demande à ce qu’on baisse la musique, parce que ca lui fait mal àla tête étant donné qu’elle doit faire un effort pour comprendre ce qu’on dit (elle est hispanophone mais habite en France depuis 1 an et demi). Elle veut qu’on baisse le fond sonore qui en plus se trouve être Iggy Pop. Baisser Iggy elle a dit. Je crois que Stéphane est à 2 doigts de la foutre dehors. Et il aurait du le faire, car malgré la nullité profonde de cette soirée, ils ont quand même réussi à rester jusque minuit et demi. Je ne sais pas pourquoi car s’il s’agit de politesse, c’est bien la seule fois que j’en ai vu la trace de toute la soirée. Ou alors ils ne se font jamais inviter à diner et eux ils ont passé un super moment.

Donc pour la notation, moi je dis 10 pour la cuisine, 10 pour la déco de table et 0 pour l’ambiance, fallait pas l’inviter !

08 juin 2009

Le message positif inachevé

Je vais vous dire un truc. Je suis sûre que vous croyez que j’ai abandonné ce blog comme on jette un vieux kleenex, sans regarder derrière, que je n’y pense même plus et que je vis ma vie loin des retranscriptions, que je l’ai laissé seul, errant comme une âme en peine, oublié de tous, pour toujours inachevé (si toutefois, une fin il peut y avoir, si c’était le cas, je ne pourrai pas l’inscrire ici). Et bien non, vous vous trompez. En fait, ca me travaille de ne plus écrire ici. Je viens jeter un coup d’œil de temps en temps, je vois que rien n’a bougé, que les derniers textes sont toujours la et qu’ils ne respirent pas la joie et le rire, et qu’il règne ici une atmosphère mélancolique comme si le lieu avait été déserté. Et je n’aime pas ca. Mais je ne sais vraiment pas quoi écrire. Tout ce qui me vient à l’esprit sont des plaintes. J’ai pensé à un texte intitulé « le mois de Mai-rde », je ne vous en dis pas plus, rien que ce titre laisse présager du ton du billet. Je réfléchis et rien ne vient. En fait, cela arrive parfois par flash, mais jamais quand je suis devant mon clavier prête à percuter de la touche.

Je préfère autant ne pas écrire que geindre. Sur le principe d’il vaut mieux être sourd que d’entendre ca. Enfin, l’inverse. En tous cas, je sais pas au niveau du sens, mais ca sonne pareil.

Toutefois chers amis, je me lance et pour faire simple, en guise d’exercice, ou de thérapie, je vais essayer d’ecarter le negatif et parler du positif. Aussi petits et insignifiants soient-ils, il existe des éléments positifs, joyeux, voire drôles (mes préférés) dans ma vie. En fait, il en existe même plein et surtout celui complètement incroyable et pas du tout insignifiant qui est le fait de partager ma vie avec mon petit bout de loupiot adoré, mon petit Malo, le petit homme qui sourit tout le temps sauf quand il hurle, qui a le regard malicieux, un vrai coquin, prêt à toutes les betises et à toutes les entreprises, mon mini-homme et son mini-corps adorable qu’il essaie de dompter pour marcher un jour, pour utiliser seul sa cuillère, pour mettre les formes carrées dans les carrés et les triangles dans les triangles, pour empiler les cubes et enfiler les anneaux sur des tiges. Mon bébé est une fripouille charmeuse qui sait ce qu’elle veut et je m’emerveille chaque jour de l’avoir à mes côtés, c’est sur. Même si parfois je l’oublie quand il choppe une casse couillite aigue version sirène hurlante ou destruction d’appartement. Mais c’est la vie. On oublie souvent les bonheurs simples et évidents pour se concentrer sur les petites merdes qui viennent nous contrarier la, à l’instant t.

Je peux aussi mentionner certaines nouvelles acquisitions, ces choses que j’achète pour combler un manque et pour faire diversion quand j’ai le vague à l’âme. Pour le coup, grâce à ca, j’ai un magnifique lampadaire dans mon salon. J’ai enfin trouvé la lampe qui éclaire bien comme il faut, que je peux mettre à l’endroit ou il a besoin d’être mis, et qui est tres tres choli. Ca a l’air de rien mais ca a changé ma vie d’avoir enfin un éclairage correct, plutôt que de passer mon temps à pester contre ses saloperies de lampes qui n’éclairent rien ou mal. Donc ca c’est formidable. Un nouveau lampadaire. Quand même. C’est pas rien, non . Oui. Ok Passons à autre chose.

Sinon, il y a aussi le fait que l’été arrive, même s’il prend son temps, l’enfoiré, mais passons. Ce fut l’occasion –attention- de m’acheter enfin ..... des sandales (ola de la foule). Je crois que j’essaie de me trouver des pompres d’été dignes de ce nom depuis toujours. Et à chaque fois, je me plante , j’achete de la merde ou du moche ou des trucs qui font mal au pied et je me retrouve invaribalement chaussée de baskets (avec chaussettes pour pas puer des pieds) alors qu’il fait 40° a l’ombre.
Et bien, voila, tout cela est terminé, cela fait partie du passé, j’ai tourné la page, car j’ai enfin trouvé the paire de sandale qui tue. Voila, c’est dit. Roxy, c’est la dernière marque qui reste qui font des trucs mettables. J’aime pas trop leur politique de prix, mais bon, je leur pardonne.

Le beau temps aidant, j’ai également l’immense honneur de vous annoncer l’éclosion de mes roses. Ce qui semble peu de choses, mais qui m’a permis de guetter chaque matin en spéculant sur la date effective d’éclosion qui a fini par arriver il y a une semaine. Donc j’ai des jolies roses, en plus des campanules, du fuchsia et des ancolies sur mes fenêtres, ce qui n’est pas de trop.

Ah heu si, ya quand même un truc vachement plus positif et surtout moins anodin, mais j’ai eu une place pour Malo en halte garderie, je peux donc l’y déposer tous les après midi de 13h30 à 17h30 et ca c’est bonnard. J’ai eu peur au début, peur de ressentir cela comme l’abandon de mon fils et puis en fait, il est ravi, moi ca me laisse du temps pour faire des choses sans enfants, ne serait-ce qu’aller faire les courses ou entrer dans un magasin et y rester le temps que je veux, voire même aller chez le médecin (youpi) (re-ola de la foule), et lui joue avec des petits copains de son âge. La dame me dit que ca se passe très bien qu’il passe de bons moments et joue bien avec les autres. C'est un peu la mascotte et il les fait bein rigoler. Que demande le peuple ? Seul hic, finalement ca ne va durer que le mois de juin, puisque la garderie ferme en juillet aout. Et cela reprendra en Septembre, sauf si j’obtiens ma place en crèche et ca je serai fixée mi-juin. Et je prie pour que oui, parce que j'ai léché des kilomètres de cul et ca mérite récompense.


[message inachevé, je le mets quand même]