La petite soirée de samedi soir, excellente au demeurant, a eu de facheuses conséquences sur mon etat du lendemain. Je me souviens m’être couchée vers 3h30, après une longue soirée « diner entre amis », arrosée de chmapgne, de BouteilleS de vins, de Dallwinny, de Glendullan, de Lagavullin, de Bunnahabain, de rhum arrangé banane-vanille ayant macéré 2 ans au moins, de bières et .. je crois que c’est tout.
Je me souviens qu’on a gagné au trivial Pursuit et qu’on a bien mangé et que les copains ont eu l’air d’apprécier en tout cas le curry malgache et la petite terrine du terroir armagnac-noisettes . Que mon gateau au chocolat au beurre salé était trop cuit, mais qu’on lui a quand même fait un sort, avec de la chantilly et de la glace à la vanille.
Je me souviens avoir beaucoup parlé avec une amie à qui je n’avais pas parlé depuis longtemps, je me souviens que ca a fait du bien . Au cœur. A pleins de choses.
Bref, une soirée rondement menée et très sympathique, qui a duré 1h30 encore apres que nos invités soient partis. Toujours terminer une bonne soirée par une séance de refaisage de monde. Toujours.
Et donc, quand je me suis reveillé le lendemain à 11h car stéphane avait eu la bonté de se lever pour donner à manger à la bête et aller faire quelques courses chez le primeur pour ma seance de confections de purées et compotes de la semaine, j’avais un peu mal à la tête et j’etais fatiguée, voire totalement embrumée. Je me suis levée et mon mal de crâne s’est amplifié presque immédiatement. Je suis allée dans la cuisine, j’ai commencé à sentir une debut d’envie de vomir m’envahir. Doliprane, absorption d’une banane (remède miracle personnel anti-gerbe).
Gerbe. Je suis la (ou presque) devant mes carottes. J’ai mis de l’eau dans l’autocuiseur et j’essaie de ne pas me couper un doigt, ma spécialité du moment. Mon état est bof. Très bof. Mais je n’ai pas le choix, il faut que je lutte et que je survive et que je fasse cuire ces putains de carottes.
Re-gerbe. Absorption d’une seconde banane. Douche. Je passe une bonne vingtaine de minutes sous la douche chaude et je sens que je me régénère. Quand je sors de la douche, je suis littéralement ressucitée. Il est 12h20 et je suis sortie en moins d’1h20 d’un etat qui pomettait de pouvoir dégénerer serieuseument au cours de la journée, voire même me terrasser. Et puis non. Je n’avais pas le choix. Il y avait Malo et les purées. Stéphane qui, s’etant levé tot , avait aussi besoin de dormir. Il fallait que je ressucite. Et je l’ai fait. De l’utilité de l’experience pour le resolution d’etat critiques consécutifs à une soirée de beuverie en un temps eclair et du miracle de la resurection quand-on-a-pas-le-choix-parce-qu’on-a-un-bébé.
12 janvier 2009
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