J’aimerais vous parler aujourd’hui d’un artiste que j’adore, admire et vénère… J’ai nommé Money Mark.
Petite bio rapide pour ceux qui ne connaîtraient pas. Money Mark est d’origine japonaiso-hawaïenno-mexicaine. Il a été le clavier des Beastie Boys, notamment pendant la période Check your Head (1992) et Ill Communications (1994). Si vous aimez les instrus des Beastie Boys, sachez que Money Mark y est pour beaucoup. J’en veux pour preuve son premier album solo (Mark’s Keyboard Repair en 1995), sorte de patchwork hyper bien mené, trés divers tout en étant absolument cohérent, de morceaux dont les durées varient entre 30 secondes et 2 min 30. Par la suite, il sort 3 albums :« Push the button » (98), « Change is coming » (2001) et « Brand new tomorrow » qui vient en sortir en Janvier 2007.
Personnellement plus fan du style premier album pour cause de vénération totale et absolue des Beastie, je commence juste à apprécier ses nouvelles productions. J’ai enfin compris que c’était différent, que c’était comme ça et que c’était bien aussi.
Je vous ai mis le morceau phare du premier album en titre du jour : « Cry ». Spéciale dédicace à mon pote Fred qui m’avait mis ce morceau sur les cassettes compil qu’il me préparait régulièrement et qui m’ont permis entre autres de découvrir DJ Krush ou DJ cam ou même DJ Shadow il y a 10 ans. Si vous souhaitez écouter les nouveaux morceaux (car je ne les ai pas trouvé sur Radioblog), voici l’adresse de son Myspace. Je vous conseille tout particulièrement le morceau « Pick Up the Pieces », qui, m’a-t-on dit, a beaucoup tourné sur Nova. Oui, mais j’écoute pas la radio, j’ai déjà suffisamment à faire avec mes 1500 skeuds. Je suis pas wonderwoman. Bien que ça me plairait vachement, je ne vous le cache pas.
Je vous annonce donc également que si Money Mark vous a séduit, tout comme moi, il sera en concert au Trabendo le Jeudi 12 Avril pour la modique somme de 22€. C’est à mon avis un concert à faire, à voir, à déguster, bref à ne pas rater. J’ai vu la bête il y a de ça 9 ans au festival Arena à Nancy où étaient également présents les Beastie Boys, Sonic Youth, Garbage, Ben Harper et Daft Punk (autant vous dire que c’était une des meilleures journées musicales que j’ai passé de ma vie) et c’était vraiment bien.
Voilà, je vous laisse le soin de découvrir et de me faire part de vos impressions.
Un bien bon Vendredi à tous, courage c’est bientôt le week-end. Oui, mais il fait moche. Oui, mais c’est pas grave, comme ça vous n’aurez d’autre choix que d’écouter du Money Mark tout le week-end !
30 mars 2007
27 mars 2007
Reminiscences
Ce que j’aime le plus quand je rentre chez mes parents, enfin, mes parents, c’est vite dit, disons plutôt ma mère, c’est fouiller dans ma chambre et retrouver tout un tas d’affaire qui me permettent de rafraîchir ma mémoire, de faire remonter des souvenirs.
Il faut dire que je garde tout. Moins maintenant, parce que bon, 50m² à Paris quand tu as l’équivalent du stock CD/livre/DVD/Vinyles de la Fnac, c’est pas évident. Bref, je m’égare. Ce week-end, comme à mon habitude, je suis allée explorer mes tiroirs pour y retrouver des cours, des bijoux et divers produits de beauté de quand j’étais ado et moche (oui, je retrouve aussi pas mal de photos et je trouve qu’il m’a fallu beaucoup de temps pour réussir à enfin ressembler à quelque chose. Si, j’aime bien quand j’avais les cheveux courts et décolorés à blanc, j’avais 18 ans, j’allais en vacances à Hossegor, je me tapais des surfeurs dans le camping de Seignosse. J’avais encore mon piercing à la langue, c'etait fun, c'etait fou, j'etais jeune…), en bref, des trucs en tout genre. En ouvrant un placard je me rend compte que mon frangin de 18 ans y planque des bières. Il en reste une, pour la peine, je la bois. Prix de la location du placard. Je suis aussi allée faire une excursion dans le grenier quand je me suis rendue compte avec effroi que je n’arrivais plus à mettre la main sur mes lettres de quand j’étais en collège et que j’avais 3000 correspondants all over the world et que avec ma copine Anne-laure on s’écrivait des lettres tous les jours alors qu’on était dans la même classe, pour se dire à quel point on était amoureuse d’Emmanuel Proper, dit Garfield (me demandez pas pourquoi, me souviens plus)..
Dans le grenier, il y a de tout, chaque objet que j’extirpe est un flash de plus, des souvenirs réssucités, parfois des déchirements aussi quand je me rend compte que le grand livre des inventions a tout moisi et que j’ai donné toutes mes Barbies et les vêtements qui allaient avec et la coiffeuse et le camping-car à ma cousine que je déteste parce que c’est juste une salle peste (mais rend moi mes barbieeeeuuuuhhhs ! blam, mandale dans sa face, croche pattes et rapporte paquet sans ficelles (aucun rapport)). Je retrouve mes vieux vêtements, Dieu que j’étais mal habillée. Je retombe sur mon fut en vinyle bleu argent acheté aux Etats Unis, je me demande comment j’ai pu assumer un truc pareil à 17 ans. Je redescends du grenier confite de poussière mais heureuse, une Barbie à la main, mon gilet que je mettais tout le temps dans l’autre, un sourire nostalgique aux lèvres. J’ai un don pour sublimer le passé, effacer les mauvais souvenirs. C’est pour ça que c’etait toujours mieux avant. Et c’est pour ça aussi que j’aime bien relire mes journaux intimes qui me démontrent qu’en fait, moi, à l’époque, j’étais pas non plus transportée de joie et d’allégresse quand je pensais à ma vie.
C’est le tour du coffre à jouets dont j’extrais une à une mes peluches (ouh le piou-piou, oh la grenouille !), ma mère se saisit d’un micro qui résonne et me dit « qu’est-ce que c’est que ça ? » sur un ton de « ça va finir à la poubelle ». Alors la non. Veto. Il faudra me passer sur le corps, ce micro, c’est toute ma vie. Je me souviens qu’avec ma copine Julie en 5ème on chantait à tue-tête Crocodile rock par la fenêtre de l’appart de sa mère dans ces micros. Alors merde. Respect tout de même. Et mes excuses aux voisins par la même occasion. Pardonnez-nous, nous ne savions pas ce que nous faisions.
Je retrouve aussi des lettres que j’ai écrites et jamais envoyées, des lettres d’amour déçu, de tristesse post-rupture, je retrouve une lettre d’amour baffoué qu’on m’a adressé. J’ai la larme à l’œil. J’avais presque oublié ce type. Pourtant, je crois que je l’ai aimé. Enfin, d’après ma lettre jamais envoyée, j’étais quand même vachement triste. C’est une lettre ultra métaphorique sur des princes charmants qui laissent tomber des jolies princesses et leur histoire rose bonbon dans un caniveau. Ca respire pas franchement la joie de vivre. Dieu merci tout ça est passé. Je me dis que je lui écrirais bien une lettre pour savoir comment il va, s’il a trouvé sa bouée.
Je tombe alors sur mes dessins, à 90% réalisés en cours. Si ma mère savait ça (elle est prof) elle me tuerait. Enfin, ça reste moins grave que l’élève qu’elle avait eu et qui se branlait en cours. Marques il s’appelait. Il était en 5ème. Ma mère était détruite rien qu’à l’idée de faire cours à sa classe. J’en veux pour preuve que moi j’avais 11-12 ans et que je me souviens de toute cette histoire atroce comme si c'était hier. Remarque, moi en 5ème , j’étais pas nette non plus (pourtant j’avais l’age d’être en 6ème), je me suis pris une douzaine d’heures de colle. Je signais à la place de ma mère mon carnet de liaison, j’avais même collé une feuille blanche avec des trait de stylo bille noir tirés dessus pour faire genre ma page d’avertissements était vierge. Bien évidemment ma mère a tout de suite remarqué le pot au rose. Résultat, de 1. elle m’a dénoncée elle même à mon collège pour qu’ils me punissent et de 2. elle m’a confisqué tous mes bibelots. MES bibelots. MA vie. Traumatisme ! Bon par la suite ça s’est arrangé. On en a déduit que j’avais fait ma crise d’adolescence de façon prématurée.
Finalement donc ma valise qui devait être vide est remplie de tout un tas de conneries dont je ne peux me défaire. Chaque objet est un souvenir. Ce n’est pas l’objet en tant que tel et dans une logique matérialiste qui m’intéresse, mais les souvenirs que j’ai mis dedans. Chaque fois que j'en perd un, je perds un bout de ma vie, de moi.
Et dans le train qui me ramène à Paris, une jeune femme de 28 ans est en fait une petite fille de 12 ans toute excitée à l’idée d’aller montrer ses nouveaux trésors à son chéri.
Il faut dire que je garde tout. Moins maintenant, parce que bon, 50m² à Paris quand tu as l’équivalent du stock CD/livre/DVD/Vinyles de la Fnac, c’est pas évident. Bref, je m’égare. Ce week-end, comme à mon habitude, je suis allée explorer mes tiroirs pour y retrouver des cours, des bijoux et divers produits de beauté de quand j’étais ado et moche (oui, je retrouve aussi pas mal de photos et je trouve qu’il m’a fallu beaucoup de temps pour réussir à enfin ressembler à quelque chose. Si, j’aime bien quand j’avais les cheveux courts et décolorés à blanc, j’avais 18 ans, j’allais en vacances à Hossegor, je me tapais des surfeurs dans le camping de Seignosse. J’avais encore mon piercing à la langue, c'etait fun, c'etait fou, j'etais jeune…), en bref, des trucs en tout genre. En ouvrant un placard je me rend compte que mon frangin de 18 ans y planque des bières. Il en reste une, pour la peine, je la bois. Prix de la location du placard. Je suis aussi allée faire une excursion dans le grenier quand je me suis rendue compte avec effroi que je n’arrivais plus à mettre la main sur mes lettres de quand j’étais en collège et que j’avais 3000 correspondants all over the world et que avec ma copine Anne-laure on s’écrivait des lettres tous les jours alors qu’on était dans la même classe, pour se dire à quel point on était amoureuse d’Emmanuel Proper, dit Garfield (me demandez pas pourquoi, me souviens plus)..
Dans le grenier, il y a de tout, chaque objet que j’extirpe est un flash de plus, des souvenirs réssucités, parfois des déchirements aussi quand je me rend compte que le grand livre des inventions a tout moisi et que j’ai donné toutes mes Barbies et les vêtements qui allaient avec et la coiffeuse et le camping-car à ma cousine que je déteste parce que c’est juste une salle peste (mais rend moi mes barbieeeeuuuuhhhs ! blam, mandale dans sa face, croche pattes et rapporte paquet sans ficelles (aucun rapport)). Je retrouve mes vieux vêtements, Dieu que j’étais mal habillée. Je retombe sur mon fut en vinyle bleu argent acheté aux Etats Unis, je me demande comment j’ai pu assumer un truc pareil à 17 ans. Je redescends du grenier confite de poussière mais heureuse, une Barbie à la main, mon gilet que je mettais tout le temps dans l’autre, un sourire nostalgique aux lèvres. J’ai un don pour sublimer le passé, effacer les mauvais souvenirs. C’est pour ça que c’etait toujours mieux avant. Et c’est pour ça aussi que j’aime bien relire mes journaux intimes qui me démontrent qu’en fait, moi, à l’époque, j’étais pas non plus transportée de joie et d’allégresse quand je pensais à ma vie.
C’est le tour du coffre à jouets dont j’extrais une à une mes peluches (ouh le piou-piou, oh la grenouille !), ma mère se saisit d’un micro qui résonne et me dit « qu’est-ce que c’est que ça ? » sur un ton de « ça va finir à la poubelle ». Alors la non. Veto. Il faudra me passer sur le corps, ce micro, c’est toute ma vie. Je me souviens qu’avec ma copine Julie en 5ème on chantait à tue-tête Crocodile rock par la fenêtre de l’appart de sa mère dans ces micros. Alors merde. Respect tout de même. Et mes excuses aux voisins par la même occasion. Pardonnez-nous, nous ne savions pas ce que nous faisions.
Je retrouve aussi des lettres que j’ai écrites et jamais envoyées, des lettres d’amour déçu, de tristesse post-rupture, je retrouve une lettre d’amour baffoué qu’on m’a adressé. J’ai la larme à l’œil. J’avais presque oublié ce type. Pourtant, je crois que je l’ai aimé. Enfin, d’après ma lettre jamais envoyée, j’étais quand même vachement triste. C’est une lettre ultra métaphorique sur des princes charmants qui laissent tomber des jolies princesses et leur histoire rose bonbon dans un caniveau. Ca respire pas franchement la joie de vivre. Dieu merci tout ça est passé. Je me dis que je lui écrirais bien une lettre pour savoir comment il va, s’il a trouvé sa bouée.
Je tombe alors sur mes dessins, à 90% réalisés en cours. Si ma mère savait ça (elle est prof) elle me tuerait. Enfin, ça reste moins grave que l’élève qu’elle avait eu et qui se branlait en cours. Marques il s’appelait. Il était en 5ème. Ma mère était détruite rien qu’à l’idée de faire cours à sa classe. J’en veux pour preuve que moi j’avais 11-12 ans et que je me souviens de toute cette histoire atroce comme si c'était hier. Remarque, moi en 5ème , j’étais pas nette non plus (pourtant j’avais l’age d’être en 6ème), je me suis pris une douzaine d’heures de colle. Je signais à la place de ma mère mon carnet de liaison, j’avais même collé une feuille blanche avec des trait de stylo bille noir tirés dessus pour faire genre ma page d’avertissements était vierge. Bien évidemment ma mère a tout de suite remarqué le pot au rose. Résultat, de 1. elle m’a dénoncée elle même à mon collège pour qu’ils me punissent et de 2. elle m’a confisqué tous mes bibelots. MES bibelots. MA vie. Traumatisme ! Bon par la suite ça s’est arrangé. On en a déduit que j’avais fait ma crise d’adolescence de façon prématurée.
Finalement donc ma valise qui devait être vide est remplie de tout un tas de conneries dont je ne peux me défaire. Chaque objet est un souvenir. Ce n’est pas l’objet en tant que tel et dans une logique matérialiste qui m’intéresse, mais les souvenirs que j’ai mis dedans. Chaque fois que j'en perd un, je perds un bout de ma vie, de moi.
Et dans le train qui me ramène à Paris, une jeune femme de 28 ans est en fait une petite fille de 12 ans toute excitée à l’idée d’aller montrer ses nouveaux trésors à son chéri.
Libellés :
Le temps de l'existentialisme
23 mars 2007
Concours de pochardes
Dans le cas où certains d’entre vous croieraient encore que les filles sont de charmantes petites choses bien éduquées, sages et pures, voire chastes, détrompez vous.
Sous vos yeux ebahis, je vais vous dévoiler un échange de mails entre 3 « charmantes » demoiselles qui doivent se retrouver le soir même pour déguster les mets les plus fins dans un restaurant.
Des passages ont été coupés pour ne pas choquer la sensibilité des plus jeunes, mais quand même .
Dans l’optique de l’anonymat qui est le mien, les noms ont été changés : Martine, Renée et Ginette vont être pour vous l’espace d’un instant un espoir de votre non déchéance totale .
Martine : « OK pour moi ce soir, mais pas trop tard alors me suis pris une caisse hier soir : attaque de renards volants ce matin yiiihaaaa !
Resto vers 21h ? Prosper (youplaboum, c'est le roi du pain d'épiiiIiiiceuh)?
Alors, zavez fini tard le nonnanniversaire ?
Hip Hop don't stop !
Yeah, on f'ra des concours de breakdance (Ice Ice Baby) je maîtrise les choré t'inquiète ! »
Ginette : Martine elle a qu'a pas boire de la bodka à jeûn un lundi soir hihihihihi ;o))
Je mange pas mais je peux boire hein !!!
TOI ET MOI DANS LE MEME BERMUDA, C'EST L'AMOUR !!!
[Tentative de proposition d’un autre jour si l’une est en gueule de bois et l’autre veut pas bouffer ]
Martine : Siiiiii j'ai faiiim moi, pis quoi la gueule de bois, ça se soigne par le mal !
Pis pour Ginette, c'est réglé j'ai passé un coup de fil à son banquier
(oui, je vais coucher avec pour éponger sa dette, mais peu me chaut, c'est ça aussi l'amitité)
(putain putain putain, plus jamais le pamplemousse le matin + café bien serré quand on a pas mangé la veille ni le matin)
(burps > jet d'acide dans la gueule clâaasse)
Ginette : Ah bah voilà, Martine, elle arrive, toujours classe, BURP, elle rote, se gratte les fesses...
(prout)
Chic & Glam
Mouahahahah
Martine : Pétomane !
Scchhhtttoooiiiinng (et oui, sous vos yeux ébaudis, je viens de péter mon string)
Salut !
Ginette : Pour info, j'ai réussi a refaire ce weekend, le cri primaire de la pushka en rut sur le mix de Cimai, j'ai vu qques yeux et oreilles non habitués me regarder d'un drôle d'air !!!
mouahhahah
[ comme Martine et Renée porte le même prénom elles s’appellent souvent Martine et Renée entre elles pour s ‘y retrouver parce qu’elles ont quand même la chance en vrai de vrai de porter ces seconds prénoms, la phrase ci-dessous fait référence au fait que Martine et Renée explique à Ginette qu’il est plus simple de les appeler Martine et Renée, s’ensuit un concours de celle qu’a le plus grand clito]
Renée : à ne pas rater "martine et ses voisins"
a venir "Renée et les experts grenoble"
Ginette : mouhahahah !!!
martine fait du Tai-chi avec Kung-Fu Masta pour sortir de la spirale infernale de la drogue et l'alcoolisme !!
Martine casse la gueule aux ptites vieilles.
Elle est complètement dingue cette fille de toute façon...
depuis que j'la connais, ma vie en un enfer !!!
Martine : Hé Ho là ça suffit hein ?! Spa passke je travaille (ou fais semblant) que je lis pas vos bêtises hein ?!
Ginette, il suffit maintenant, je peux parler aussi moi hein. L'autre là elle nous tape des hurlements sauvages en plein apéro, elle tombe tout le temps, elle fait pipi partout alors ça suffit hein?! Si vous croyez que c'est facile tous les jours de la sortir :)) Un cal-vaire je vous dis un calvaire !! Pffff !
Renée, les experts ? Ils t'ont quand même pas fait péter les gants et tout (souvenir du gars qui nous regarde avec un air sadique et qui mime le gant mappa devant nos visages apeurés, mais hilares un peu quand même :) [ndlr : toujours fumer un bon spliff avant de se faire arreter pour fumage de spliff, ça détend l’atmosphère]
Renée : c'est un teasing, rien ne vous sera dévoilé avant 21h madame !
putain... mais !... mais on est toutes les 3 maquées maintenant ! comment on va se faire payer les verres de fin de soirée !
Ginette : ui, on est pas plus sortables l'une que l'autre hihihihihi !!!
Renée : oui, mais qui a un trou de 5 cms sur la fesse droite suite à une soirée arrosée où elle s'est cassé la gueule sur chaque cms de dancefloor avant de s'ecraser sur les platines en faisant tomber un ipod du balcon et qui se brisa?
Martine : C'est TOI Maitwess,
Je me prosterne, c'est vrai, c'est TOI la plusss moins sortable, j'avoue !
On est tout petits, on mérite pas ...
(putain pour ce soir, je vous préviens, on va finir tricardes de chez Prosper !! Hi hi hi)
(as usual)
Renée : "garde, emmenez-les"
mais non pas moi !
elles !
[ s’ensuit une proposition de Renée (moi) pour compiler des extraits de cet élégant échange de mails]
Martine : Ben avec Ginette on se disait qu'on ferait bien une compil intitulée "chaudes comme des baraques a frites"
Alors va z y fais péter renée!!
[y succède un laps de temps d’une petite demi-heure où renée, happée par un problème d’extraction de données ne répond plus]
Ginette :
test micro
onetwo
onetwo
checkdamicrophonebabey
hummm u're body
all niiiight looong
yeah han
Boiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiireuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhhhhhhh
**fin de ginette**
Martine : Oh mon dieu !!
On est en train de perdre renée! Vite docteur, donnez moi 3CC d'epinamphetaminecodeinee, massage cardiaque
3
2
1
Biiiiiiiiiiiiiiiiiip
On la perd, vite une perfusion de rhuuuum, viiiiiiteuh
Keskon fait du corps?
On en fait don a la science pour faire avancer la connaissance de la
cirhose ? Ou est ce qu'on la jette aux lions ??
Ca va renée on t embete pas trop? ;))
Ginette : Don à la science...
Jsais pas si c'est une bonne idée hein...
Les étudiants en 1ère année de médecine vont être totalement perturbés à la vue d'un tel foie...
Les lions vont finir bourrés et par conséquent manger les dompteurs
Nan, vraiment là...
On pourrais donner le corps à la Fondation Cartier pour une expo sur l'alcool et ses ravages dans l'art contemporain ?!
Renée, t'es avec nous ?
Arrêtes de faire semblant de bosser hein !!
Tu peux être toi même, on juge pas nous tu sais !!
hihihiihihi ;o)) "
Voilà, au cas ou vous vous poseriez la question, oui, ces mails sont envoyés de nos boite pro mais tranquillisez vous Martine dans un éclair de lucidité dit : D'ailleurs je supprime tout dans ma bal moi parce que dans la serie dossier pour faire interner une collaboratrice, ca se pose la hein?!:))
[ s’ensuit une soirée arrosée dont je vous epargnerais les détails, je vous devoile le mail du lendemain qui pourra vous donner une petite idée du déroulement de la soirée ]
Martine : « OH MON DIEU !!!
Putain chais pas vous, mais moi j'ai mal ce matin :))
Me suis endormie comme une merde dans mon lit, télé + lumière > réveillée à 6h30 pour tout éteindre, et j'ai oublié de mettre mon réveil ...
Réveil en fanfare à 8h20, douche express, traçage, errance pour retrouver ma voiture (10minutes) et hop hop hop, heureusement qu'il n'y avait personne sur la route parce que sinon je me foutais grave dedans pour la journée ... J'ai un peu les dents du fond qui baignent et une espèce de barre qui palpite dans ma tête, un oeil plus bas que l'autre, une coupe de cocker, bref, JE SUIS AU TOP !! La journée va être phénoménale je crois :)) (je le savais que le 2è pichet n'était pas une si bonne idée que ça, je le savais !!)
Aïiiiieuh, j'ose même pas aller tenter le café ... Et dans 25 minutes, je repars en rendez-vous puis j'enchaîne sur un déj client (burps) et sur un autre rendez-vous ... MOURIR !!
Bon courage à vous les filles, c'était très sympa hier soir :) On r'met ça quand vous voulez (mais moins de vin hein)
J'vais tenter l'ibuprofen là :)
Des bisous, force & honneur, & BURPS un peu quand même
Désolée pour la perte de vos illusions !
Sous vos yeux ebahis, je vais vous dévoiler un échange de mails entre 3 « charmantes » demoiselles qui doivent se retrouver le soir même pour déguster les mets les plus fins dans un restaurant.
Des passages ont été coupés pour ne pas choquer la sensibilité des plus jeunes, mais quand même .
Dans l’optique de l’anonymat qui est le mien, les noms ont été changés : Martine, Renée et Ginette vont être pour vous l’espace d’un instant un espoir de votre non déchéance totale .
Martine : « OK pour moi ce soir, mais pas trop tard alors me suis pris une caisse hier soir : attaque de renards volants ce matin yiiihaaaa !
Resto vers 21h ? Prosper (youplaboum, c'est le roi du pain d'épiiiIiiiceuh)?
Alors, zavez fini tard le nonnanniversaire ?
Hip Hop don't stop !
Yeah, on f'ra des concours de breakdance (Ice Ice Baby) je maîtrise les choré t'inquiète ! »
Ginette : Martine elle a qu'a pas boire de la bodka à jeûn un lundi soir hihihihihi ;o))
Je mange pas mais je peux boire hein !!!
TOI ET MOI DANS LE MEME BERMUDA, C'EST L'AMOUR !!!
[Tentative de proposition d’un autre jour si l’une est en gueule de bois et l’autre veut pas bouffer ]
Martine : Siiiiii j'ai faiiim moi, pis quoi la gueule de bois, ça se soigne par le mal !
Pis pour Ginette, c'est réglé j'ai passé un coup de fil à son banquier
(oui, je vais coucher avec pour éponger sa dette, mais peu me chaut, c'est ça aussi l'amitité)
(putain putain putain, plus jamais le pamplemousse le matin + café bien serré quand on a pas mangé la veille ni le matin)
(burps > jet d'acide dans la gueule clâaasse)
Ginette : Ah bah voilà, Martine, elle arrive, toujours classe, BURP, elle rote, se gratte les fesses...
(prout)
Chic & Glam
Mouahahahah
Martine : Pétomane !
Scchhhtttoooiiiinng (et oui, sous vos yeux ébaudis, je viens de péter mon string)
Salut !
Ginette : Pour info, j'ai réussi a refaire ce weekend, le cri primaire de la pushka en rut sur le mix de Cimai, j'ai vu qques yeux et oreilles non habitués me regarder d'un drôle d'air !!!
mouahhahah
[ comme Martine et Renée porte le même prénom elles s’appellent souvent Martine et Renée entre elles pour s ‘y retrouver parce qu’elles ont quand même la chance en vrai de vrai de porter ces seconds prénoms, la phrase ci-dessous fait référence au fait que Martine et Renée explique à Ginette qu’il est plus simple de les appeler Martine et Renée, s’ensuit un concours de celle qu’a le plus grand clito]
Renée : à ne pas rater "martine et ses voisins"
a venir "Renée et les experts grenoble"
Ginette : mouhahahah !!!
martine fait du Tai-chi avec Kung-Fu Masta pour sortir de la spirale infernale de la drogue et l'alcoolisme !!
Martine casse la gueule aux ptites vieilles.
Elle est complètement dingue cette fille de toute façon...
depuis que j'la connais, ma vie en un enfer !!!
Martine : Hé Ho là ça suffit hein ?! Spa passke je travaille (ou fais semblant) que je lis pas vos bêtises hein ?!
Ginette, il suffit maintenant, je peux parler aussi moi hein. L'autre là elle nous tape des hurlements sauvages en plein apéro, elle tombe tout le temps, elle fait pipi partout alors ça suffit hein?! Si vous croyez que c'est facile tous les jours de la sortir :)) Un cal-vaire je vous dis un calvaire !! Pffff !
Renée, les experts ? Ils t'ont quand même pas fait péter les gants et tout (souvenir du gars qui nous regarde avec un air sadique et qui mime le gant mappa devant nos visages apeurés, mais hilares un peu quand même :) [ndlr : toujours fumer un bon spliff avant de se faire arreter pour fumage de spliff, ça détend l’atmosphère]
Renée : c'est un teasing, rien ne vous sera dévoilé avant 21h madame !
putain... mais !... mais on est toutes les 3 maquées maintenant ! comment on va se faire payer les verres de fin de soirée !
Ginette : ui, on est pas plus sortables l'une que l'autre hihihihihi !!!
Renée : oui, mais qui a un trou de 5 cms sur la fesse droite suite à une soirée arrosée où elle s'est cassé la gueule sur chaque cms de dancefloor avant de s'ecraser sur les platines en faisant tomber un ipod du balcon et qui se brisa?
Martine : C'est TOI Maitwess,
Je me prosterne, c'est vrai, c'est TOI la plusss moins sortable, j'avoue !
On est tout petits, on mérite pas ...
(putain pour ce soir, je vous préviens, on va finir tricardes de chez Prosper !! Hi hi hi)
(as usual)
Renée : "garde, emmenez-les"
mais non pas moi !
elles !
[ s’ensuit une proposition de Renée (moi) pour compiler des extraits de cet élégant échange de mails]
Martine : Ben avec Ginette on se disait qu'on ferait bien une compil intitulée "chaudes comme des baraques a frites"
Alors va z y fais péter renée!!
[y succède un laps de temps d’une petite demi-heure où renée, happée par un problème d’extraction de données ne répond plus]
Ginette :
test micro
onetwo
onetwo
checkdamicrophonebabey
hummm u're body
all niiiight looong
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Boiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiireuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhhhhhhh
**fin de ginette**
Martine : Oh mon dieu !!
On est en train de perdre renée! Vite docteur, donnez moi 3CC d'epinamphetaminecodeinee, massage cardiaque
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Biiiiiiiiiiiiiiiiiip
On la perd, vite une perfusion de rhuuuum, viiiiiiteuh
Keskon fait du corps?
On en fait don a la science pour faire avancer la connaissance de la
cirhose ? Ou est ce qu'on la jette aux lions ??
Ca va renée on t embete pas trop? ;))
Ginette : Don à la science...
Jsais pas si c'est une bonne idée hein...
Les étudiants en 1ère année de médecine vont être totalement perturbés à la vue d'un tel foie...
Les lions vont finir bourrés et par conséquent manger les dompteurs
Nan, vraiment là...
On pourrais donner le corps à la Fondation Cartier pour une expo sur l'alcool et ses ravages dans l'art contemporain ?!
Renée, t'es avec nous ?
Arrêtes de faire semblant de bosser hein !!
Tu peux être toi même, on juge pas nous tu sais !!
hihihiihihi ;o)) "
Voilà, au cas ou vous vous poseriez la question, oui, ces mails sont envoyés de nos boite pro mais tranquillisez vous Martine dans un éclair de lucidité dit : D'ailleurs je supprime tout dans ma bal moi parce que dans la serie dossier pour faire interner une collaboratrice, ca se pose la hein?!:))
[ s’ensuit une soirée arrosée dont je vous epargnerais les détails, je vous devoile le mail du lendemain qui pourra vous donner une petite idée du déroulement de la soirée ]
Martine : « OH MON DIEU !!!
Putain chais pas vous, mais moi j'ai mal ce matin :))
Me suis endormie comme une merde dans mon lit, télé + lumière > réveillée à 6h30 pour tout éteindre, et j'ai oublié de mettre mon réveil ...
Réveil en fanfare à 8h20, douche express, traçage, errance pour retrouver ma voiture (10minutes) et hop hop hop, heureusement qu'il n'y avait personne sur la route parce que sinon je me foutais grave dedans pour la journée ... J'ai un peu les dents du fond qui baignent et une espèce de barre qui palpite dans ma tête, un oeil plus bas que l'autre, une coupe de cocker, bref, JE SUIS AU TOP !! La journée va être phénoménale je crois :)) (je le savais que le 2è pichet n'était pas une si bonne idée que ça, je le savais !!)
Aïiiiieuh, j'ose même pas aller tenter le café ... Et dans 25 minutes, je repars en rendez-vous puis j'enchaîne sur un déj client (burps) et sur un autre rendez-vous ... MOURIR !!
Bon courage à vous les filles, c'était très sympa hier soir :) On r'met ça quand vous voulez (mais moins de vin hein)
J'vais tenter l'ibuprofen là :)
Des bisous, force & honneur, & BURPS un peu quand même
Désolée pour la perte de vos illusions !
19 mars 2007
Le Nonnanniversaire
La couleur d’humeur du jour, c’est le bleu. Bleu comme un ciel d’été immaculé, un bleu lumineux, un bleu sans nuage. Le week-end qui vient de s’écouler est à l’image de cette humeur puisqu’il en est la cause. En effet, ce week-end, c’était mon anniversaire et j’ai eu le droit à une belle surprise.
Alors que je me préparais Vendredi à une soirée qui sert à rien, une soirée qui se passe entre le canapé, la télévision, l’ordinateur et le frigidaire, j’entends frapper à la porte. Rien d’étonnant puisque j’attendais effectivement quelqu’un qui devait m’amener une cassette dont le contenu est top secret. J’ouvre, m’apprête à proposer à ma visiteuse une petite halte désaltérante avant qu’elle reprenne la route, m’enquiert de son degré de disponibilité : « t’es en speed ? ». Elle me répond que oui elle est en speed et des voix se font alors entendre du fond du couloir « moi aussi chui en speed !ouais, moi aussi !" et tout à coup déboule une douzaine de personnes dans l’appartement. Je suis absolument stupéfaite ! Ravie et stupéfaite. J’avais passé ma semaine à saouler tout le monde en disant que je regrettais de n’avoir rien organisé pour mon anniversaire sans me douter une seule seconde qu’il se fomentait un complot intersidéral derrière mon dos ! Tout le monde a été absolument magistral et aucun indice d’une fête surprise ne m’a été donné à aucun moment... Une vraie surprise, quoi. D’ailleurs je mets une bonne demi-heure à réaliser ce qui se passe, je range des bières au frigo, des bouteilles de vodka, accueille des nouveaux venus, range mes p’tites culottes qui trainent, essaie de mettre de la musique, et de rassembler mes esprits, j’hallucine complet. Je bois ma première bière cul sec. Je me sens subitement beaucoup mieux. Des vertus de l’alcool. Et c’est tant mieux, parce que je ne suis pas au bout de mes surprises. Mon chouchou chéri avait vraiment pensé à tout même à inviter des gens que je n’avais pas vu depuis longtemps, qui n’étaient pas à Paris, histoire que cette fête soit à l’image du nomadisme qui a été le mien des mes 17 à 24 ans. L’appartement se remplit de tous mes potes, je suis aux anges. J’aime tout le monde, je me retiens de proposer une partouze géante, tellement je suis submergée d’amour pour tous ces gens qui sont venus me faire la surprise du siècle. C’est le moment où je me dis qu’il faut que je vous remercie, je ne sais pas si je l’ai suffisamment fait, j’étais tellement happée de toutes parts. Alors merci à mon chéri d’abord quand même et puis dans le désordre merci à Julie, Emilie, Veens, Mélanie, Zwaffle, Jaime, Tania, Dine, Val, Lucie, Bruno, Kim, Thibault, Amandine, Philippe, Juliette, Fred, Olivier, DC, Micha, Juju, Nel, Fab, Pygol, Jerome, Elie, Mathieu, Averell, Vinz, Zem, Jeff, Anita, Thierry, Prem, Tahin, mon dieu je sens que j’en oublie, merci aux amis des mes amis dont je ne me souviens pas forcement les prénoms, merci à tous d’être venus. J’ai passé une excellente soirée, j’espère que vous aussi, j’espère que vous êtes tous rentrées comme il faut, parce que ce n’était pas gagné pour tout le monde, j’espère que ceux qui devaient se lever tôt le lendemain pour prendre des avions et des trains y sont tous parvenus.
En tous cas, grâce à ce beau monde, je vais devenir une super pro de la danse hip hop. Oh yeah. Hip hop you don’t stop ! Héhé ! Il me semble d’ailleurs avoir parlé d’une démonstration l’an prochain, mais tout le monde aura bien sur compris qu’il ne s’agissait que de paroles d’ivrogne à n’absolument pas prendre en compte. Hum. Avec un peu de chance et un autre acte d’ivrognerie, vous aurez malgré tout (et surtout ma propre volonté) l’occasion de me voir à l’œuvre, qui sait ?
Une bien belle façon de commencer un week-end d’anniversaire. J’avoue avoir évité in extremis une gueule de bois assez violente le lendemain grâce à 2 alka setzer, un propofan et 2 bananes (la banane est un vrai miracle anti-bide en vrac, comme le mien menaçait de le faire). Je ne comprends pas les gens qui préfèrent ne pas prendre de médicament quand ils se sentent mal. Honnêtement, je préfère avoir pris des drogues et avoir passé une chouette journée comme je l’ai fait, plutôt qu’avoir dégueulé toute la journée comme ca m’est déjà arrivé un nombre trop conséquent de fois !
La dernière chose que je vais rendre public de mon week-end d’anniversaire, c’est une nouvelle venue dans ma vie, une nouvelle venue très désirée, attention, la voici la voila :
Aaaaaaaaaaaaaaah, regardez comment qu’elle est belle ma nouvelle planche.
C’est une diva. La meilleure planche de tout le monde de la terre de l’univers, voici, messieurs, mesdames, une Burton Feelgood 149 2006/2007 . Mama ! Le top du top de la planche pour fille, souple, légère, bon flex. Bon elle me fait un peu peur, parce qu’elle fait 5 cms de plus que mon ancienne (Un promodel Burton Shannon Dunn 144) et qu’elle est vachement plus large. Par contre elle semble avoir une excellente prise de carre. Bon, après ce blabla dont la majorité d’entre vous n’ont que faire, je retourne lui faire l’amour... Merci mon chéri pour ce très beau cadeau !
En morceau du jour, un titre de circonstance, un hommage à tous mes potes !
En morceau du jour, un titre de circonstance, un hommage à tous mes potes !
13 mars 2007
Me and the music
Je vais prendre quelques minutes de mon précieux temps pour vous faire partager le moment d’anthologie que j’ai vécu hier soir. Une expérience incroyable, inoubliable et qui avait peu de chances de se produire. Oh oui, vraiment très très peu. Oui, parce qu’aller voir un concert de hip hop / r’nb à la Boys II Men c’est pas du tout mon genre. Mais alors du tout.
Et pourtant. Hier soir. 21h. Nouveau Casino. Je retrouve mon bienfaiteur, celui qui savait que j’avais suffisamment d’humour pour accepter la folle proposition qu’il m’a faite à midi : « ya un concert ce soir de hip hop rn’b au nouveau caz, c’est gratuit, tu viens ?». Oui, d’accord
Et bien voilà, j’y suis. La queue est longue, sans doute parce que c’est une queue de black, car oui, il n’y a que des blacks pour aller voir … Pretty Ricky ! Je sais pas pourquoi mais je sens que j’ai tenu le suspense pour rien, car vous ne connaissez pas ! mais j’vous jure aux States ce sont de vrais stars.
Laissez moi vous présenter le groupe :
4 jeunes hommes, façon boys band hip hop. Il y en a un qui a encore un appareil dentaire, un autre qui a des dents en argent, c’est la super classe. Mais ce qui a été le plus classe, c’était leur tenue. Après 1/2h d’attente insoutenable ou les fans s’évanouissent les uns après les autres d’impatience et de chaleeeeuuuur, ils déboulent sur scène en… jogging à paillettes dorées. Oh yeah. L’ultime classe. Le concert a duré une demi heure avec pleins de chorés super élaborées, des positions suggestives tout autant que lascives invitant à du touchage de bite, sans mentionner l’arrachage de veste, suivi d’arrachage de t-shirt histoire de se retrouver tablettes de chocolat à l’air. On dit que les femmes sont souvent représentées de façon avilissante. Et bien les hommes ont pris leur revanche. Les paroles des chansons font beaucoup état de la vie sexuelle de ces messieurs, sous-entendant probablement que les demoiselles juicy sont bienvenues backstage. My body ! Your body ! Let’s make love all night long !
En bref, je suis morte de rire pendant la 1/2h de concert, ravie d’avoir pu assister à un tel show. Moi aussi, je veux savoir faire des chorés. Ces ricains quand même, ils sont bien gravos. Et je les en remercie.
Toujours musical, mais plus réjouissant pour les oreilles, je sors du concert privé de John Butler Trio dans les locaux de Warner.
Moi, j’vous dis, des pauses dejs comme ça, j’en veux tous les midis ! Mieux que le sandwich devant l’écran, le concert pour 50 personnes ! J’ai fait venir chouchou avec moi et nous avons assisté à un set d’un demi heure vraiment excellent. Ces mecs respirent l’énergie, la simplicité, la good vibe, j’adore (dior). Pour ne rien gâcher, ils sont charmants, souriants et le chanteur fut-un temps j’en aurais bien fait mon 4h. Mais c’est trop tard maintenant, je suis maqué, il l’est aussi, il me l’a dit que notre amour était impossible, mais j’ai lu dans son regard (oui, je sais, je suis liseuse de regard de chanteur) qu’il désirait que nous soyons amis. Plus sérieusement, il me tarde de les voir en concert et je vous le conseille fortement.
Bon, je retourne à mon myspace, heu non, à mon boulot (oui voilà, c’est mieux)
Et pourtant. Hier soir. 21h. Nouveau Casino. Je retrouve mon bienfaiteur, celui qui savait que j’avais suffisamment d’humour pour accepter la folle proposition qu’il m’a faite à midi : « ya un concert ce soir de hip hop rn’b au nouveau caz, c’est gratuit, tu viens ?». Oui, d’accord
Et bien voilà, j’y suis. La queue est longue, sans doute parce que c’est une queue de black, car oui, il n’y a que des blacks pour aller voir … Pretty Ricky ! Je sais pas pourquoi mais je sens que j’ai tenu le suspense pour rien, car vous ne connaissez pas ! mais j’vous jure aux States ce sont de vrais stars.
Laissez moi vous présenter le groupe :
4 jeunes hommes, façon boys band hip hop. Il y en a un qui a encore un appareil dentaire, un autre qui a des dents en argent, c’est la super classe. Mais ce qui a été le plus classe, c’était leur tenue. Après 1/2h d’attente insoutenable ou les fans s’évanouissent les uns après les autres d’impatience et de chaleeeeuuuur, ils déboulent sur scène en… jogging à paillettes dorées. Oh yeah. L’ultime classe. Le concert a duré une demi heure avec pleins de chorés super élaborées, des positions suggestives tout autant que lascives invitant à du touchage de bite, sans mentionner l’arrachage de veste, suivi d’arrachage de t-shirt histoire de se retrouver tablettes de chocolat à l’air. On dit que les femmes sont souvent représentées de façon avilissante. Et bien les hommes ont pris leur revanche. Les paroles des chansons font beaucoup état de la vie sexuelle de ces messieurs, sous-entendant probablement que les demoiselles juicy sont bienvenues backstage. My body ! Your body ! Let’s make love all night long !
En bref, je suis morte de rire pendant la 1/2h de concert, ravie d’avoir pu assister à un tel show. Moi aussi, je veux savoir faire des chorés. Ces ricains quand même, ils sont bien gravos. Et je les en remercie.
Toujours musical, mais plus réjouissant pour les oreilles, je sors du concert privé de John Butler Trio dans les locaux de Warner.
Moi, j’vous dis, des pauses dejs comme ça, j’en veux tous les midis ! Mieux que le sandwich devant l’écran, le concert pour 50 personnes ! J’ai fait venir chouchou avec moi et nous avons assisté à un set d’un demi heure vraiment excellent. Ces mecs respirent l’énergie, la simplicité, la good vibe, j’adore (dior). Pour ne rien gâcher, ils sont charmants, souriants et le chanteur fut-un temps j’en aurais bien fait mon 4h. Mais c’est trop tard maintenant, je suis maqué, il l’est aussi, il me l’a dit que notre amour était impossible, mais j’ai lu dans son regard (oui, je sais, je suis liseuse de regard de chanteur) qu’il désirait que nous soyons amis. Plus sérieusement, il me tarde de les voir en concert et je vous le conseille fortement.
Bon, je retourne à mon myspace, heu non, à mon boulot (oui voilà, c’est mieux)
Libellés :
Le temps de la musique,
le temps du plaisir
12 mars 2007
Perdue de recherche
Une longue semaine d’absence si ce n’est plus et je n’ai pas réellement le temps d’écrire un billet .
Cela dit pour vous rassurer, car je sais que vous êtes inquiets, vous, mes amis, mes fidèles lecteurs, non ne pleurez plus, je suis la, vous pouvez enlever vos avis de recherches, je vais me fendre d’un billet à la va-vite entre 2 portes.
En effet, un relan de motivation s’est emparé de moi professionnellement parlant et je me suis mise sur mes dossiers qui dormaient pépère, ce qui m’empêche de me consacrer pleinement à ma plume, de trouver des sujets, de vous les faire partager.
Non, je suis une femme active, cadre dynamique, j’ai des responsabilités et je dois les honorer.
En bref, je suis allée Dimanche dernier voir les Rita Mitsouko et je dois dire que je n’ai pas été déçue. Je suis tombée amoureuse de Catherine Ringer, simple et déjantée, j’ai même croisé son regard (ben oui, j’étais debout sur une chaise) et je lui ai fait un clin d’œil et l’espace d’un instant vécu unilatéralement, nous avons été les meilleures amies du monde. J’ai lu dans son regard tout un tas de promesses : tu seras ma myspace friend, je viendrai lire ton blog et j’écrirai un morceau rien que pour toi et moi et ensemble nous ferons des dizaines, que dis-je ! des centaines de dates all around the world. En tous cas, ils ont eu le bon goût de jouer c’est comme ça en dernier morceau histoire de se quitter sur une apothéose dont je me souviendrai toute ma vie (mamie elle a vu les rita mitsouko un jour et elle a failli devenir une grande star, mais mamie a préféré signer pour un contrat mère-bobonne et vous devriez lui en être reconnaissant sinon vous ne seriez même pas la, dans ce monde de merde, oui, mais mamie pouvait pas savoir !)
Sinon, pas grand chose de la semaine, repos essentiellement. Et puis un week-end également assez calme, profitage de soleil. J’ai acheté des plantes histoire d’oublier Paris, et de définitivement transformer mon appartement en serre. J’aime regarder mes plantes pousser. Les conséquences des soins qu’on leur apporte sont tangibles. Les bonnes comme les mauvaises d’ailleurs. Souvenirs émus des plantes décédées entre mes mains. Sentiment d’être une mauvaise mère. Je me flagelle le soir en silence de n’avoir pu les sauver. Oui, toi la plante dont je ne me souviens plus le nom et toi l’autre dont je ne me souviens plus le nom non plus, je vous aime et de la Terre je vous lance un message vers l’au-dela botanique « je vous aime, je ne voulais pas vous faire du mal, je ne savais pas, je pensais que tu pouvais resister à –5 degré, je pensais que tu avais soif, je ne savais pas que tu te noyais sous l’eau de vie que je t’apportais trop régulièrement."
minute de silence
Cela dit pour vous rassurer, car je sais que vous êtes inquiets, vous, mes amis, mes fidèles lecteurs, non ne pleurez plus, je suis la, vous pouvez enlever vos avis de recherches, je vais me fendre d’un billet à la va-vite entre 2 portes.
En effet, un relan de motivation s’est emparé de moi professionnellement parlant et je me suis mise sur mes dossiers qui dormaient pépère, ce qui m’empêche de me consacrer pleinement à ma plume, de trouver des sujets, de vous les faire partager.
Non, je suis une femme active, cadre dynamique, j’ai des responsabilités et je dois les honorer.
En bref, je suis allée Dimanche dernier voir les Rita Mitsouko et je dois dire que je n’ai pas été déçue. Je suis tombée amoureuse de Catherine Ringer, simple et déjantée, j’ai même croisé son regard (ben oui, j’étais debout sur une chaise) et je lui ai fait un clin d’œil et l’espace d’un instant vécu unilatéralement, nous avons été les meilleures amies du monde. J’ai lu dans son regard tout un tas de promesses : tu seras ma myspace friend, je viendrai lire ton blog et j’écrirai un morceau rien que pour toi et moi et ensemble nous ferons des dizaines, que dis-je ! des centaines de dates all around the world. En tous cas, ils ont eu le bon goût de jouer c’est comme ça en dernier morceau histoire de se quitter sur une apothéose dont je me souviendrai toute ma vie (mamie elle a vu les rita mitsouko un jour et elle a failli devenir une grande star, mais mamie a préféré signer pour un contrat mère-bobonne et vous devriez lui en être reconnaissant sinon vous ne seriez même pas la, dans ce monde de merde, oui, mais mamie pouvait pas savoir !)
Sinon, pas grand chose de la semaine, repos essentiellement. Et puis un week-end également assez calme, profitage de soleil. J’ai acheté des plantes histoire d’oublier Paris, et de définitivement transformer mon appartement en serre. J’aime regarder mes plantes pousser. Les conséquences des soins qu’on leur apporte sont tangibles. Les bonnes comme les mauvaises d’ailleurs. Souvenirs émus des plantes décédées entre mes mains. Sentiment d’être une mauvaise mère. Je me flagelle le soir en silence de n’avoir pu les sauver. Oui, toi la plante dont je ne me souviens plus le nom et toi l’autre dont je ne me souviens plus le nom non plus, je vous aime et de la Terre je vous lance un message vers l’au-dela botanique « je vous aime, je ne voulais pas vous faire du mal, je ne savais pas, je pensais que tu pouvais resister à –5 degré, je pensais que tu avais soif, je ne savais pas que tu te noyais sous l’eau de vie que je t’apportais trop régulièrement."
minute de silence
01 mars 2007
Guitar Heroin
Si mon âge et mon sexe n’étaient pas inscrits dans mon profil, je suis sûre que vous pourriez penser que je m’appelle Kevin, que j’ai 17 ans et que je viens de redoubler ma seconde pour la 2ème fois. En effet, boire, regarder MTV et jouer à Guitar hero, c’est typique de l'ado attardé, ca ne peut pas etre l’œuvre d’une charmante jeune femme de 27 ans !
Et pourtant si. J’ai l’âme d’une rock star, quand je prend ma guitare en plastique rouge sur laquelle sont collés des autocollants de Superman, je suis Kim Gordon, Joan Jett, je suis une pétasse des Plasticines, la foule en délire scande mon nom, des hommes nus se jettent sur moi pour me toucher le bras, d’autres s’évanouissent avant d’avoir pu y arriver, il y a de la sueur, moi et ma guitare on fait l’amour sur scène, je lui touche le vibrato, elle gémit et de concert, nous jouissons ensemble sur un morceau de hard rock. C’est chic, c’est glam, ca vous est offert par la hard nonne corporation.
Ce soir, chouchou n’est pas la, j’ai le droit à ma soirée indépendance, je vais rentrer, rouler mon spliff, ouvrir une bière, allumer la PS2 et me saisir de la guitare. Je vais jouer du Rage against the machine, du Guns & roses, du Foo Fighters, du Stone Temple Pilot, du Wolfmother, du Kiss, du Alice in Chains, Primus, Aerosmith, j’en passe et des meilleurs . En bref pas mal de trucs que j’ai interdit à Chouchou de mettre dans la chaîne hi-fi et pourtant, dès qu’il a le dos tourné, je suis l’un d’entre eux. Dans mon appart il y a de grandes baies vitrées, parfois je me demande si des voisins captent que leur voisine joue comme une déesse sur une guitare en plastique quasi-fisher price et je me demande ce qu’ils pensent. A mon avis, s'ils ont remarqué, 90% se foutent de ma gueule, mais ils peuvent pas comprendre. Quand je serai une grande star, ils n’auront pas le droit de venir backstage. Quand ils me diront « on est tout petit, on est tout petit, on mérite pas, on est à chier!», je ne dirais pas comme Steeve Tyler à Wayne et garth « mais si vous méritez », je dirais « Gardes, emmenez les » d’un air dédaigneux. Ouais, parce qu’une star, ça parle pas à n’importe qui, surtout à des gens qui l'ont renié aux balbutiements de sa carrière interplanétaire.
Je ne sais pas si quiconque a compris ma référence hautement culturelle. Oui, parce que je suis fan de Wayne’s World. Qu’est-ce que vous bite ? est-ce le cul de mes oies ? J’ai dit JE SUIS FAN DE WAYNE’S WORLD. Mégateuf, excellent ! Je connais toutes les répliques par cœur, c’est affligeant car il se trouve que je suis l’une des rares survivantes des fans de Wayne’s World, les autres sont morts d’échec scolaire, d’alcoolisme ou de vieillesse.
Rien que pour mon plaisir, quelques répliques cultes, de ce film non moins culte.
Ron présente sa nouvelle invention, le Suce-kut
Wayne : Ron, peux-tu nous donner son principe de fonctionnement ?
Ron l'inventeur : Oui, comme son nom l'indique, ça suce et ça coupe.
Wayne : Dommage que ça coupe...
Stacy : Attention Wayne, fais attention à moi ou tu risques de me perdre.
Wayne : Mais je t'ai perdu y'a deux mois ! Mais t'es gol ou quoi ? On est plus ensemble ! Lis la presse !
Wayne : Hey Tiny y'a quoi comme groupe ce soir ?
Tiny : Les géants verts de la haine. Y'a les Pudukus !
Wayne : Hé les PuduKus ça donne quelque chose ?
Tiny : Nan ça daube.
Wayne : Alors ils ont choisi un nom valable.
Garth : T'as déjà trouvé Bugs Bunny sexy quand il s'habillait en fille et ressemblait à une lapine ?
Wayne : Non pourquoi tu dis ça ?
Garth : pour rien…
Garth : Si Benjamin était le nom d'un médicament se serait un suppositoire
Allez, à ciao, gonzes et gonzesses ! Mégateuf ! Excellent !
En titre du jour, le morceau que je préfére jouer à Guitar hero, Sweet Child of mine des Guns
Et pourtant si. J’ai l’âme d’une rock star, quand je prend ma guitare en plastique rouge sur laquelle sont collés des autocollants de Superman, je suis Kim Gordon, Joan Jett, je suis une pétasse des Plasticines, la foule en délire scande mon nom, des hommes nus se jettent sur moi pour me toucher le bras, d’autres s’évanouissent avant d’avoir pu y arriver, il y a de la sueur, moi et ma guitare on fait l’amour sur scène, je lui touche le vibrato, elle gémit et de concert, nous jouissons ensemble sur un morceau de hard rock. C’est chic, c’est glam, ca vous est offert par la hard nonne corporation.
Ce soir, chouchou n’est pas la, j’ai le droit à ma soirée indépendance, je vais rentrer, rouler mon spliff, ouvrir une bière, allumer la PS2 et me saisir de la guitare. Je vais jouer du Rage against the machine, du Guns & roses, du Foo Fighters, du Stone Temple Pilot, du Wolfmother, du Kiss, du Alice in Chains, Primus, Aerosmith, j’en passe et des meilleurs . En bref pas mal de trucs que j’ai interdit à Chouchou de mettre dans la chaîne hi-fi et pourtant, dès qu’il a le dos tourné, je suis l’un d’entre eux. Dans mon appart il y a de grandes baies vitrées, parfois je me demande si des voisins captent que leur voisine joue comme une déesse sur une guitare en plastique quasi-fisher price et je me demande ce qu’ils pensent. A mon avis, s'ils ont remarqué, 90% se foutent de ma gueule, mais ils peuvent pas comprendre. Quand je serai une grande star, ils n’auront pas le droit de venir backstage. Quand ils me diront « on est tout petit, on est tout petit, on mérite pas, on est à chier!», je ne dirais pas comme Steeve Tyler à Wayne et garth « mais si vous méritez », je dirais « Gardes, emmenez les » d’un air dédaigneux. Ouais, parce qu’une star, ça parle pas à n’importe qui, surtout à des gens qui l'ont renié aux balbutiements de sa carrière interplanétaire.
Je ne sais pas si quiconque a compris ma référence hautement culturelle. Oui, parce que je suis fan de Wayne’s World. Qu’est-ce que vous bite ? est-ce le cul de mes oies ? J’ai dit JE SUIS FAN DE WAYNE’S WORLD. Mégateuf, excellent ! Je connais toutes les répliques par cœur, c’est affligeant car il se trouve que je suis l’une des rares survivantes des fans de Wayne’s World, les autres sont morts d’échec scolaire, d’alcoolisme ou de vieillesse.
Rien que pour mon plaisir, quelques répliques cultes, de ce film non moins culte.
Ron présente sa nouvelle invention, le Suce-kut
Wayne : Ron, peux-tu nous donner son principe de fonctionnement ?
Ron l'inventeur : Oui, comme son nom l'indique, ça suce et ça coupe.
Wayne : Dommage que ça coupe...
Stacy : Attention Wayne, fais attention à moi ou tu risques de me perdre.
Wayne : Mais je t'ai perdu y'a deux mois ! Mais t'es gol ou quoi ? On est plus ensemble ! Lis la presse !
Wayne : Hey Tiny y'a quoi comme groupe ce soir ?
Tiny : Les géants verts de la haine. Y'a les Pudukus !
Wayne : Hé les PuduKus ça donne quelque chose ?
Tiny : Nan ça daube.
Wayne : Alors ils ont choisi un nom valable.
Garth : T'as déjà trouvé Bugs Bunny sexy quand il s'habillait en fille et ressemblait à une lapine ?
Wayne : Non pourquoi tu dis ça ?
Garth : pour rien…
Garth : Si Benjamin était le nom d'un médicament se serait un suppositoire
Allez, à ciao, gonzes et gonzesses ! Mégateuf ! Excellent !
En titre du jour, le morceau que je préfére jouer à Guitar hero, Sweet Child of mine des Guns
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