Jour 4 : Dimanche 19 Aout
Aujourd’hui, on s’accorde une grasse mat’… jusqu'à 9h avant de partir petit déjeuner puis retrouver Antoine et Agathe pour notre dernier jour à Mexico.
On refait un petit tour sur la marché et Stéphane trouve enfin un super masque de catch mexicain (lucha libre). Puis départ pour les jardins flottants de Xochimilco.
Il s’agit en fait de canaux au milieu d’une végétation luxuriante où circulent des dizaines de bateaux colorés, tous affublés d’un nom féminin, et peuplés de familles mexicaines venues passer leur déjeuner dominical sur l’eau.. Il y en a partout, sans compter les barques des marchands de bières, de mais et autres mets, celles des mariachis qui attendent qu’on loue leur service pour greffer leur embarcation à celle de la famille. Sur les bords des canaux, de grandes serres, où l’on peut s‘arrêter pour acheter plantes et fleurs si l’on veut. On peut également en acheter à des marchands flottants. Ca me fait horriblement envie tellement elles sont magnifiques mais je préfère acheter une autre bière, ça semble plus raisonnable..
L’ambiance est géniale : les bateaux se percutent, les familles font la fête de toute part, on fait danser mémé, c’est vraiment drôle. De notre côté, nous sommes passés au préalable dans un restaurant de fruits de mer pour se faire préparer un déjeuner à emporter. C’est divin. Enfin, je trouve nourriture mexicaine à mon gosier. La ballade dure 1H30, je prends plein de photos puis nous retournons à l’embarcadère. Je serai bien restée la toute la journée mais c’est l’heure de retourner à Mexico pour la suite du programme.
Antoine nous montre les quartiers chics, ca fait très rician, des gamins jouent au kart dans les allées des parcs ou pilotent de somptueux bateaux télécommandés dans un bassin. On marche sur des trottoirs très propres bordés de boutiques de luxe. Rien à voir avec tout ce qu’on a pu voir jusqu'à présent, et surtout avec le centre historique. On pourrait très bien ne pas être au Mexique ici. D’ailleurs, j’ai un peu de mal, je suis mal à l’aise. Ca pue le fric, le snobisme et le mépris de la culture mexicaine, même si c’est vrai que c’est joli. Mais quel intérêt ?
Après un ultime apéro chez Antoine, on retourne à l’hôtel pour l’ultime nuit dans notre lit king size avant de partir vers Oaxaca.
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3 commentaires:
C'est troublant le geste du mexicain sur cette photo...
oh, il essayait juste debnous interpeller pour nous vendre des fleurs, mais c'est vrai que l'expression saisie à ce moment peut être interprété différemment ...
En particulier si tu regardes ses mains... Mais j'ai l'esprit mal tourné...
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